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Michel Messier et son oncle Jacques Messier sont venus ici en 1651. L'année précédente, Martine Messier, son époux Antoine Primot, et une cousine, Catherine Thierry adoptée par le couple Primot, les avaient précédés. Mon ancêtre, Jacques Messier, a traversé vers 1660. Il était le frère de Michel Messier venus tous les deux de St-Denis-le-Tiboult, Rouen, Normandie, France. Quelque temps après leur arrivée à Montréal, les Messier s'établissent à Varennes et principalement dans la vallée du Richelieu. Comme les familles sont devenues rapidement nombreuses et qu'il y avait un manque flagrant de terres, elles ont dû penser à s'expatrier. Elles ne voulaient pas aller dans les Cantons de l'Est parce que c'était des terres de roches et que c'était la partie des Loyalistes du Québec donnée par le gouvernement canadien quand ils ont émigré des États-Unis. Ils voulaient rester fidèles au roi d'Angleterre.

 

Edward Francis Messier et Célina Touchette,

une famille du Vermont

Lucie Leblanc dit White et François Messier,

parents d'Edward Francis Messier

On retrouve la famille d'Edward Messier sur une petite ferme au pied de  Jay Peak à Montgomery, VT et dans la région de Fairfield. En compilant ces informations sur mon arrière-grand-père, je me suis arrêté et je me suis demandé : "Qui était cet homme, qu'est-ce qu'il avait réellement l'air, quelles étaient ses croyances et comment considérait-il sa famille?" J’en ai appris davantage sur lui quand, il y a quelques années, j'ai découvert un document écrit par sa petite-fille,  Arlene (Jordan) Martell. Voici ce qu'Arlene écrivait sur lui.

 

Gale Messier

En avant: Éva Messier (Jordan), Edward Messier et Célina Touchette

En arrière: Edward Messier Jr, Alma Messier (Pilon), Joséphine Messier (Labelle), Nellie Messier (Nolan) et Frank Messier. Photo prise au début des années 1920

Arrière grands-parents de Gale Messier

Edward (Ed) et Célina Touchette ont déménagé au pied de Jay Peak à Montgomery au début de l'adolescence de leurs enfants. Ils ont cultivé la ferme Doane durant 3 ans à Fairfield Center près du pont à l'est du village.

 

En hiver, Frank et sa soeur Éva patinaient souvent sur l'étang près du pont. Quand ils étaient ensemble, ils parlaient toujours de leurs journées de course. Il lui avait fait des patins de course sur mesure, avec de longues lames. Les promenades en carrioles étaient aussi parmi leurs souvenirs favoris. Leur attelage était muni de clochettes de façon à ce que les gens de la ville sachent qu’ils s'en venaient.

 

Ed et Célina se sont acheté une ferme familiale à East Fairfield, VT, à un mille de l'école Lapland sur la route Howrigan où ils ont passé le reste de leur vie. La ferme était située au pied du Mont Fletcher en allant vers ce qui est appelé Pine Ridge. Un ruisseau traversait cette ferme de 200 acres d'un bout à l'autre et un autre, qui descendait de la colline, passait près de la grange pour venir se jeter dans le ruisseau principal. On utilisait ce cours d'eau comme piscine. Il y avait une érablière avec une cabane à sucre à  environ 1000 pieds de la maison. Il y avait aussi une grande boutique de forge qui était au-delà de la route vers la montagne avec le ruisseau coulant juste en arrière. Le poulailler et l'enclos de cochons n'étaient pas loin avec une 2e grange et un poulailler pour les dindes bâti juste à côté. La grange à foin située à côté du verger dans la montagne avec l'arrière gauche ouvert permettait aux génisses de se nourrir durant l'hiver. Il y avait plusieurs cervidés (cerfs) qui venaient hiverner avec elles. On pouvait toujours trouver une famille de pintades autour de la boutique ou des tas de foin. C'était probablement les mascottes de la famille que les voisins ont dû toujours voir dans les environs. La laiterie était située de l'autre côté de la route. Le garage qui abritait la vieille Pontiac qu'Ed appréciait tellement était entre la maison et la grange sur l'entrée circulaire. Le long d'un mur du garage, on pouvait trouver un grand établi avec beaucoup d'outils intéressants.

 

Frank et Edward Jr. ont travaillé à la ferronnerie jusqu'à ce qu'Edward Jr. quitte la maison. Ils avaient aussi une scierie mobile qui les tenait occupés.

 

Après son mariage, Frank a vécu à East Fairfield Village. Durant quelques années, il a continué à travailler à la ferronnerie avec son père jusqu'à ce qu'il achète sa propre ferme. Il a aussi fabriqué et réparé des roues de voitures. Une de ses spécialités était de dessiner des trottinettes aussi appelées monte-pentes. C'était un ski étroit en acier monté d'un siège. En hiver, quand les conditions étaient bonnes, il pouvait monter sa patinette à mi-chemin du mont Wells et faire sa course jusqu'à East Fairfield, d'une distance de 3 milles. Il pouvait l'utiliser quand le vent était favorable ce qui lui permettait de se créer un bon erre d'aller pour la prochaine étape. Son objectif personnel était d'arriver en parfait équilibre. À ce moment-là, la route n’était occupée que par les transporteurs de bois qui revenaient à la maison après leurs longues journées de travail. Il conduisait avec une telle habileté que la population, le long de la route, l'attendait pour le voir passer rapidement, la tête baissée pour contrer le vent. Il allait plus vite que n'importe quel autre véhicule n'avait pu le faire sur le terrain plat de Filtzgerald. Quand il ne faisait pas beau, le pire qui pouvait lui arriver était de marcher de deux à trois cents pieds après la colline Morey.

 

Edward Sr était un autodidacte qui avait appris à lire et à écrire par lui-même. Il a passé beaucoup de temps à la lecture du journal "Burlington Press" et de la "Bible". Annuellement, il organisait une danse champêtre pour amasser de l'argent au profit de l'école Lapland. Selon lui, pour avoir une meilleure vie, les enfants devaient avoir une bonne éducation. Il a toujours dit que tous ceux qui ne savaient ni lire ni écrire se rendaient ridicules.

 

Il était un charpentier et il avait une grande connaissance des moteurs à gazoline.

 

Ses petits-enfants, Ronald et Norbert, ont passé tous leurs temps libres dans la ferronnerie, bâtissant des voitures. À l'adolescence, les deux conduisaient leur propre voiture.

 

Edward Sr avait un don pour la musique. Il a même inventé plusieurs instruments soit en sculptant du bois pour une petite flute soit en les fabriquant avec de la corde ou de la ficelle. Dans ses poches, il avait toujours un harmonica. Dans la maison, l'orgue était le meuble le plus important. En bas âge, chacun apprenait à jouer de cet instrument. Il a toujours pensé que chacun naissait avec ce talent et il avait peu de patience avec ceux et celles qui ne jouaient pas de la musique ou ne dansaient pas. Ses fils Frank et Edward apportaient toujours une guimbarde ainsi qu'un harmonica dans leurs poches quand ils allaient couper du bois avec leur père. Durant les périodes de repos, ils devaient jouer de la musique. Les garçons n'appréciaient pas toujours cette tradition mais s'y soumettaient. Leur père leur disait que jouer de la bonne musique garderait leur esprit clair et leur âme saine. Cette tradition vient des familles Messier et de la culture canadienne. Elle a suivi jusqu'aux camps de bucherons à Montgomery, VT. Il y avait toujours des violonistes qui accompagnaient les « gigueurs » durant les repas et les soirées. Edward avait l'habitude de parler de son père François et de son frère Joseph qui jouaient du violon ensemble en accompagnant les chanteurs. Sa sœur, Rose, jouait aussi du violon. Plusieurs petits-enfants et arrière-petits-enfants ont hérité de ses habiletés artisanales et musicales.

 

Avant que l'électricité arrive dans cette région montagneuse d'East Fairfield, la famille Messier avait des lampes électriques. Ed avait inventé une génératrice, installée sur le toit de la maison, dont les palettes étaient activées par le vent. Quand il ventait, la cuisine était illuminée par cette invention. Il travaillait si bien qu'il installa le même système chez son voisin.

 

Il gardait toujours sa carabine près de la porte de la cuisine et son fusil de chasse dans le coin de la salle à manger. Les munitions étaient toujours alignées sur la tablette du haut du bureau à correspondance. Il avait une cartouche spécialement fabriquée pour les voleurs pour imposer sa propre loi dans cette partie du comté. Elle était constituée de sel dur et de grains de plomb. Il racontait souvent l'histoire d'un homme avec peu d'ambition qui essayait de voler des petits équipements au clair de lune. Quand le vieux chien colley grognait, Ed se levait et il se préparait. Il prenait son fusil chargé d'une façon spéciale. Il s'était fait un genre d'ornière dans sa véranda pour être capable de bien viser. Quand le voleur sortit du garage avec son sac d'outils, Ed l'attendait. Quand le voleur s'est dirigé vers la route, Ed prit son fusil et le tira directement dans le dos. Le voleur s’enfuit. Ed alla à l'étable, monta à cheval et le poursuivit. Le temps qu'il prit pour le rejoindre, il était déjà rendu chez lui racontant des balivernes, autour de la table de cuisine, à sa vieille mère qui lui enlevait des chevrotines. Ed entra sans cogner et le confronta. Ce fut le dernier des vols dans cette région.

 

Un ruisseau bien garni de truites coulait près de la maison à environ cent pieds de la porte d'entrée. À tous les matins, vers 5 h 30, avant les corvées domestiques, Ed étendait sa ligne près du pont et capturait quelques truites pour déjeuner. S'il arrivait qu'un petit-fils soit là, il  lui disait : "Dieu les a mises là pour nous afin de les manger."

 

Il y avait toujours un grand jardin près de la maison. Les journées de conserves étaient prévues quand toutes les filles venaient à la maison pour mettre en boîtes les tomates, les betteraves, le maïs et d'autres légumes. Il y avait aussi les journées de marinades quand on ramassait les légumes pour l'hiver. On utilisait le vinaigre fabriqué avec du cidre de l'année précédente. Les journées de cidre avaient lieu quand les pommes étaient mûres. Les meilleures pommes étaient placées dans un bac au sous-sol jusqu'à ce qu'elles soient prêtes à être pressées. Dans la cave, le jus était mis dans trois gros barils de bois jusqu'à ce que ça tourne en cidre.

 

Grand-père a toujours planté du maïs à éclater pour manger durant les soirées d'hiver. Il était pendu pour sécher. En soirée, il était égrené et mis dans des jarres.

 

Quand un voisin avait besoin d'une nouvelle source d'eau, on avait l'habitude de venir voir mon grand-père. Il était un véritable sourcier avec sa baguette magique et pouvait trouver de l'eau s'il y en avait à trouver.

 

En vieillissant, ses cheveux frisés rouge carotte sont devenus blancs comme neige mais sa barbe est demeurée rouge clair. À chaque automne, il la laissait pousser comme les bucherons le font pour se protéger contre les froids de l'hiver. Dès que la saison des sucres était terminée, il se la coupait. Ses yeux bleus perçants nous rappelaient toujours la même chose. Quand il disait : "Maintenant, jeune dame" vous faisiez attention et saviez que vous lui aviez déplu. De toute façon, sa large carrure était imposante pour un enfant.

 

La vie était généralement intéressante chez grand-père. Occasionnellement, il organisait des rencontres sociales. Les femmes, toutes assises dans la salle à manger, piquaient des couvertures tout en parlant de choses et d'autres. Pendant ce temps, les hommes, assis dans la cuisine, jouaient aux cartes et prenaient un petit verre de cidre. Grand-papa s'organisait toujours pour jouer un ou deux morceaux de musique. Raconter des histoires était un autre de ses talents. Il pouvait vous faire peur avec l'histoire de maisons hantées ou vous faire rire en racontant des aventures intéressantes survenues durant sa vie.

 

Ayant été élevé avec les cultures françaises et indiennes, il enseignait toujours les moyens de survie à ses petits-enfants. En marchant avec eux dans la forêt, il identifiait ce qui était poison ou pas, quelles fleurs on pouvait cueillir et celles qui étaient mortelles. Il tenait à nous couper de la gomme de sapin pour mâcher et identifier que ça venait bien d'un sapin. Nous aurions aimé ramasser des primevères ou d'autres pousses vertes.  Nous n'étions pas autorisés à cueillir ce genre de fleurs spéciales. Nous pouvions les regarder ou les dessiner. Au retour, on ramassait toujours des pousses de saules.

 

Il avait un cataplasme pour n'importe quel genre de maladies à partir de l'écorce des arbres, des racines et des herbes. Chaque printemps, pour nettoyer notre système, il nous faisait prendre du soufre et de la mélasse à tous les soirs pendant une semaine.

 

Grand-père était un homme religieux. Il portait toujours un crucifix. Il disait que le diable se promenait partout sur la terre et que c'était une protection pour lui.

 

Il a toujours dit que ses enfants faisaient leurs canines au bout d'un godendart et qu'ils savaient ce que c'était une journée de travail depuis qu'ils étaient haut comme trois pommes. À 9 ans, lui faisant face à l'autre bout de la scie, je n’ai jamais argumenté, même pas un petit peu.

 

Dans ce temps-là, personne ne perdait une minute. Il n'y avait pas de temps réservé au jeu pour les enfants. Il y avait trop de travail à faire. On cueillait des fraises, des framboises et des mûres. Lors des journées pluvieuses, on cassait des noix utilisées pour la cuisine et les bonbons et on cordait du bois dans le hangar.

 

Occasionnellement, nous allions à la ville à la charronnerie de Chase où on m'enseignait à faire des casse-tête avec la scie à découper.

 

Quand grand-papa épousa sa deuxième épouse en 1936, je suis allée vivre avec eux. Nous l'appelions tante Louise, une très gentille dame de Littleton, NH.

 

Avant cela, je vivais à un mille et demi de mon grand-père. Ma soeur et moi allions souvent chez lui pour lui apporter du pain frais et des pets de nonne. Comme il vivait seul la plupart du temps depuis la mort de grand-maman, en 1930, de temps à autre, nous en profitions pour aller passer une journée avec lui.

 

La dernière année que j'ai vécu là fut très difficile parce que grand-papa tomba malade. Il pleurait son frère Joseph mort une année auparavant dans le New Hampshire. Le médecin a dit qu'il a vécu un genre de dépression qui l'a beaucoup fatigué.

 

Il alla à Hardwick chercher un petit-fils adolescent afin de l’aider à supporter le fardeau familial. À l'été 1938, Lewis (Sam) Messier est arrivé et resta jusqu'au décès de grand-papa en 1940. L'été précédant son décès, je retournai dans ma famille à Milton, VT. Je dois dire que j'ai été très fortunée de bien le connaître. C'était un homme avec plusieurs talents et il a développé chacune des facettes de ses habiletés.

 

Tante Mary et tante Rose vivant au Massachusetts sont venues aux funérailles. Les deux étaient des dames adorables. Tante Rose n'était pas grande et ressemblait à son frère Edward. Ses cheveux roux étaient un peu fades mais ses yeux scintillaient avec un sourire spontané.

 

Arlene Martell

Après avoir lu la version d'Arlene sur grand-papa, j'ai une meilleure image de cet homme. J'aurais aimé l'avoir connu. J'aimerais remercier Arlene d'avoir écrit son histoire. Elle nous a donné un bon aperçu de cet homme, Edward Messier.

 

Gale Messier

En avant: Joseph Messier et Edward Messier

En arrière: Estelle Messier (Desautel), Rose Messier, Mary Messier

Photo prise après 1930 à St. Albans, VT

Famille de François Messier et Lucie Leblanc/White

 

François Messier, né le 4 janvier 1832 à Marieville, QC, fils de Pierre Messier et d'Esther Poyer dit Lapintade épouse Lucie Leblanc dit White, née le 23 juin 1838 à St-Pie-de-Bagot, QC. Elle est la fille de Michel Leblanc/White et de Victoire Henry-PiedBlanc/Whitefoot.

 

La date et l'endroit du mariage sont inconnus. Lucie Leblanc décède le 9 août 1904 à Swanton, VT. François Messier décède le 18 novembre 1908 à Linwood, Northbridge, MA. Il est inhumé le lendemain au cimetière St. Patrick de Northbridge, MA., Son gendre, John Ashton, est témoin.

 

Ils ont 5 enfants :

 

Esther, née le 6 janvier 1859 à Enosburg Falls, VT, épouse Pierre Arel, fils de Jean-Baptiste et de Luce Lambert, à Enosburg, VT, le 10 septembre 1871. Pierre naît le 23 octobre 1847 à St- David d'Yamaska.

 

Mary, née le 21 septembre 1861 à Enosburg Falls, VT, épouse John Ashton le 15 juin 1891 à Montgomery, VT.

 

Joseph, né le 29 juillet 1864 à Enosburg Falls, VT, épouse Alice Centerbar le 10 mars 1890 à Enosburg Falls, VT, et en 2e noces, Clara Allard.

 

Rosilla, née le 10 juin 1867 à Enosburg Falls, VT, épouse Willie O. Casey le 16 janvier 1883 à Bakersfield, VT et Lewis Dezaotelle/Desautels le 4 novembre 1889 à Westfield, VT.

 

Edward, né le 16 mai 1869 à Enosbrug Falls, VT, épouse Celina Touchette le 20 janvier 1890 à Montgomery, VT, et en 2e noces, Louise Allard le 17 août 1936 à Fairfield, VT.

 

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Famille d'Edward Francis et de Célina Touchette

 

Edward Francis Messier, fils de François et de Lucie Leblanc/White, naît le 16 mai 1869 à Enosburg Falls, VT. Il épouse Célina Touchette, le 20 janvier 1890 à Montgomery, VT. Elle naît le 4 août 1871 à Westfield, VT, fille de Louis Touchette et de Joséphine Dusseau.

 

Edward Francis décède le 28 septembre 1940 et Célina Touchette, le 19 décembre 1930 à Fairfield, VT. Ils sont inhumés à Bakersfield, VT

 

Ils ont 7 enfants :

 

Joséphine, née le 7 novembre 1890 à Montgomery, VT, épouse Charlie Labelle le 27 novembre 1905 à Montgomery, VT. Charles naît le 9 octobre 1883 et décède le 4 juillet 1974.  Joséphine décède le 26 mars 1964 à St. Alban, VT. Les deux sont inhumés dans le cimetière de Milton, VT.

 

Ils ont 8 enfants : Charles Edward (1906-1967), Glaydes Moe (1908-1973), Cassie Eleonor (1910), Maurice (1914-1991), Ethel (1912), Oliver John (1916-1960), Rose Celina (1921) et Nancy Mary (1922).

 

Francis, né le 11 janvier 1893 à Montgomery, VT, épouse Lillian Valley le 18 septembre 1913 à   Enosburg, VT. Francis décède le 10 septembre 1956 et Lillian, le 5 mars 1974. Ils sont inhumés à East Franklin, VT.

 

Ils ont 4 enfants : Ronald (1917-1964), Norbert (1919-1969), Mélina (1921) et Wilma (1922).

 

Edward Lewis, né le 4 décembre 1897 à Westfield, VT, épouse Bertha Blanche Sorrell, fille de Thomas et de Mary Robidoux, le 24 novembre 1920 à Fairfield, VT.

 

Ils ont 3 enfants : Lucille Bertha (1921), Louis Edward (1923) et Thomas James (1925-1996). Bertha Blanche décède le 26 mai 1993 à St. Albans, VT.

 

Après son divorce, Edward Lewis épouse en 2e noces Juliette Chartier, fille d'Alfred et de Florina Choinière, le 26 mai 1931 à Burke, VT.

 

Ils ont 13 enfants : Rachel (1933), Raymond (1934-2000), Louise (1935), Carmel (1936-1999), Juliette (1937), Yvette (1939), Yvonne (1940), Marcel (1941), Paul (1942), Édouard (1943), Alice (1945), Laurette/Kitty (1946) et Denise (1947).

 

Juliette Chartier naît le 27 septembre 1911 à Granby, QC, et décède le 26 mai 1970 à Northfield, VT. Edward Lewis Messier décède le 26 septembre 1964 à Northfield, VT.

 

Nellie, née le 11 mars 1901 à Wesfield, VT, épouse Arthur Louis Nolan le 2 septembre 1918 à Fairfield, VT. Elle décède le 25 mars 1980 à Milton, VT. Arthur Louis naît le 25 mai 1896 à Enosburg, VT, et décède le 27 août 1991 à Essex Junction, VT.

 

Ils ont 3 enfants : Ila (1922-2002), Arlon (1927-1999) et Alice (1944).

 

Éva Hattie, née le 31 janvier 1903 à Montgomery, VT, épouse Edouard William Jordan le 2 mai 1921 à Franklin, VT. Il décède le 31 janvier 1967 et Éva, le 10 avril 1994 à Bakersfield, VT. Les deux sont inhumés au cimetière St-George de Bakersfield, VT.

 

Ils ont 6 enfants : Eleanor Mary (1923), Arlene Catherine (1926), Ann Frances (1928), Andrew Julius (1932), Tersa Rosa (1936) et Judith Catrol (1944).

 

Alma Jane, née le 10 novembre 1905 à Montgomery, épouse Joseph Pilon le 27 novembre 1922 à Bakersfield, VT. Elle décède le 12 février 1986 à Bakersfield, VT. Joseph Pilon, fils de Jean-Baptiste et d'Anastasia Castonguay, naît le 24 juin 1889 à St-Lazare, QC, et décède le 1er juillet 1979 à Bakersfield, VT.

 

Ils ont 6 enfants : Arthur (1919-1921), Edward (1926), Cécile (1927), Yvonne (1930), Arthur (1932), Joseph Paul (1937) et Joséphine (1943).

 

1 belle-fille et 2 beaux-fils d'Alma Jane : Alma (1913), Emile (1914) et Hank (1916-1977).

 

Une fille naît et décède le 8 février 1913 à Enosburg, VT.

 

 

 

ARBRE GÉNÉALOGIQUE DE GALE MESSIER

MARIAGES

CONJOINTS

St-Denis-le-Thiboult

Normandie, France

02 Jehan Le Messier

Cardine Acoulons

Perrier sur Andelle ?

Normandie, France

vers 1603

01 Jehan Le Messier

Inconnue

St-Denis-le Thiboult

Normandie, France

vers 1639

00 David Le Messier

Marguerite Barc

(1616-1676)

Fort Frontenac

Été 1687

01 Jacques Messier

     (1649-1697)

Marie-Renée Couillard

François & Esther Dannesé

(1670-1695)

Varennes, Ste-Anne

23 novembre 1712

02 Jacques Messier

     (1692-1777)

Élisabeth Bissonnet

Jacques & Marguerite Collet

(1692-1770)

Varennes, Ste-Anne

22 avril 1743

03 Joseph Messier

      (1718-1758)

Marie-Anne Godu

René & Marie-Françoise Tétreau

(1726-1769)

Marie-Antoine Provost

Antoine & Élisabeth LeBrodeur

(1750-1820)

Varennes, Ste-Anne

24 septembre 1770

04 Jacques Messier

     (1748-1807)

Charlotte Ledoux

Jacques & Charlotte Patenaude

(1773-1860)

Varennes, Ste-Anne

23 septembre 1799

05 Joseph Cajetan Messier

     (1772-1822)

Esther Poyer / Lapintade

Clément & Marguerite Favreau

(1810-1881)

Marieville

15 janvier 1828

06 Pierre Messier

     (1803-1868)

Lucie Leblanc

Jean-Michel & Victoire Henri PiedBlanc/Whitefoot (1838-1904)

Endroit inconnu

vers 1857

07 François Messier

     (1832-    )

Celina Mary Touchette

Louis & Joséphine Dusseau

(1871-1930)

Montgomery, VT

20 janvier 1890

08 Edward Francis Messier

     (1869-1940)

Bertha Blanche Sorrell

Thomas Constant & Mary Robidoux

(1903-1993)

Fairfield, VT

24 novembre 1920

09 Edward Lewis Messier

     (1897-1964)

Eunice Ruth Langlais/Longley

Frank Fay & Ila Mae Brown

(1924-2008)

Troy, NH

17 février 1943

09 Thomas James Messier

     (1925-1996)

Denise Francine Parent

George Wilfrid & Mary Rita Paul Rainville (1954-     )

Enosburg Falls, VT

4 novembre 1972

09 Gale Gene Messier *

     (1949-    )

*  Quatre enfants : Nicole Jean, Andrew Paul, Anthony Steven, Carole Anne

Dernière mise à jour:

16 août 2014

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